lundi 19 juillet 2021

Ostéo et libido

Ce matin, je me suis réveillée avec le pire « hangover » pi il me semble qu’il m’en manque des petits bouts. Je ne me souviens même plus à quelle heure je me suis couchée. J’ai encore quelques « flash » d’une soirée, plutôt d’une nuit, très agréable. Mais encore…

Dans mon appartement, c’est le bordel. Des bières traînent ici et là. J’ai la tête qui tourne. Je crois même que je suis encore un peu soule. C’est l’été, je m’haïs, c’est comme ça aujourd’hui. Je dois me rendre chez mon ostéo pour qu’elle me donne son verdict : si je peux me remettre à la course.

Ce matin, je me suis réveillée avec le pire « hangover » pi il me semble qu’il m’en manque des petits bouts. Je ne me souviens même plus à quelle heure je me suis couchée. J’ai encore quelques « flash » d’une soirée, plutôt d’une nuit, très agréable. Mais encore…

Notre conversation a recommencé assez tôt. Clairement, personnes n’avaient réellement dormi. Clairement, personnes n’en avaient réellement eu assez. J’ai un sourire niaiseux. Je « glow ». J’ai encore envie de « lui ». C’est l’été, je m’haïs, c’est comme ça aujourd’hui.

Aujourd’hui, je me fous de tout. Je vis comme si c’était mon dernier jour. J’ai imposé mes limites avec l’Amireux. J’avais besoin de briser ce silence. Encore une fois, j’ai eu droit à une réponse très bien ponctuée, réfléchie, avec les « bons » mots, mais toujours aussi vague. Je ne suis ni triste, ni déçue. Par contre, j’ai trouvé sa réponse « cheap », très « cheap ». Dude, nous avons échangé des fluides et nous nous sommes vus nu. Donc, à partir de maintenant l’Amireux sera le « sexy professeur » s’il a à revenir dans mon histoire. Je suis une résiliente maganée. C’est l’été, je m’haïs, c’est comme ça aujourd’hui.

Dans mon appartement, c’est le bordel. Des bières traînent ici et là. J’ai la tête qui tourne. Je crois que je suis encore un peu lucide. Je dois me rendre chez mon ostéo pour qu’elle me donne son verdict et pour savoir si je peux me remettre à la course. J’ai besoin de me défoncer autrement. C’est l’été, je m’haïs, c’est comme ça aujourd’hui.

« Lui » c’est le meilleur plan de l’année. Trop occupé, en relation ouverte et habite dans mon quartier. Peu possible pour moi que je m’attacher. Je peux enfin être seule avec moi-même et avoir une belle option « sexu » surprise une fois de temps en temps. À moins qu’il recrée le Karma du blendeur et qu’il détecte ce que j’ai de spécial dans ma salive. Pire, qu’il décide de rester scotché. Après le sexy professeur, je n’ai aucune envie de m’ouvrir. Je suis une résiliente maganée. Je peux donc rester secrète et profiter de quelques heures ici et là simplement me changer les idées et avoir du plaisir.

Direction ostéo, j’ai la tête qui tourne. Partagée entre mes anciennes frustrations de l’hiver dernier,  l’ennuie de mon « porn » intellectuel avec le sexy professeur et la drôle de nuit que je viens de passer avec « lui ». Mon verdict final, je me fous de tout. J’ai un sourire niaiseux. Je « glow ». J’ai encore envie de « lui ». C’est l’été, je m’haïs, c’est comme ça aujourd’hui.

Certes, je ne pourrai pas recommencer la course demain. Par contre, mon ostéo m’a proposé de m’entraîner le haut du corps au besoin pour canaliser mon stress et mon énergie. Intéressant… Mais encore…

Dans mon appartement, c’est le bordel. Des bières traînent ici et là. J’ai la tête qui tourne. Ce matin, je me suis réveillée avec le pire « hangover » pi il me semble qu’il m’en manque des petits bouts. Je ne me souviens même plus à quelle heure je me suis couchée. J’ai encore quelques « flash » d’une soirée, plutôt d’une nuit, très agréable. Mais encore… J’ai besoin de faire une sieste.

 

-          Hey je suis trop claquée, je vais aller faire une sieste. By the way, la porte patio est débarrée.

 

 

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